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7e BCA

Team

02_Un choix et une histoire

  Nous avons choisi de reprendre 7e Bataillon de Chasseurs Alpins pour bien des raisons.

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En 1837 le duc d’Orléans crée les Chasseurs à pied pour tester une nouvelle carabine nécessitant des tireurs entraînés.

  Cette compagnie sera baptisée « bataillon de tirailleurs ». Ils auront pour uniforme une capote et tunique bleue et un passepoil jonquille qui deviendront les couleurs des régiments de chasseurs. En 1845 lors de la Bataille de Sidi-Brahim les chasseurs rentreront dans l’histoire militaire en préférant mourir plutôt que de se rendre.  En 1888, douze bataillons de chasseurs à pied deviennent des Bataillons Alpins de Chasseurs à Pied.

  • Médaille de Crimée

  • Médaille commémorative de l'expédition du Mexique

  • Médaille commémorative de la guerre 1870-1871

  • Médaille coloniale avec agrafes "Tunisie" et "Maroc"

  • Croix de Guerre 14-18 avec trois palmes et une étoile d'argent

  • Fourragère 1914-1918.

  • Médaille interalliée de la Victoire

  • Médaille commémorative de Haute-Silésie

  • Croix de Guerre 39-45 avec un palme

  • Croix de la Valeur militaire avec une palme

Dès le 1er août 1914 les bataillons de chasseurs sont envoyés sur la frontière italienne des Alpes puis dans les Vosges. Lors des batailles de décembre 1914 dans les Vosges, les 28° et 30° B.C.A. gagneront à la "Tête des Faux" le nom de « Schwarzen Teuffeln », « Diables noirs » que les chasseurs transformeront en Diables Bleus en référence à leur tenue.

  En 1915, les chasseurs alpins s’illustreront sur les crêtes vosgiennes dans les combats acharnés du Hartmannswillerkopf, surnommée la « Montagne mangeuse d’hommes » où 20000 chasseurs et 40000 soldats allemands seront tués. En juin la 6° compagnie du 7° BCA à court de munitions tiendra sa position conquise sur l’adversaire à l’Hilsenfirst, en précipitant des rochers sur l’ennemi. Elle sera nommée la Compagnie Sidi Brahim.

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 Note: En 1918, en Picardie, deux sections de la 19°BCP encerclées dans le château de Givesnes par la Garde allemande résistent au son d’un piano en chantant la Marseillaise et la Sidi Brahim.

LA GRANDE GUERRE 1914-1918:
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Les montagnards du « 7 » occupent les années qui suivent la guerre d'Algérie à acquérir un niveau d'excellence dans leur pratique de la montagne. Multipliant les exploits sportifs, ils ouvrent de nombreuses voies sur les sommets locaux, multiplient les raids en autonomie complète, participent à de nombreuses manœuvres alpines ainsi qu'à diverses compétitions sportives. Le bataillon devient un acteur majeur de la localité de Bourg-Saint Maurice et de la Tarentaise et apporte régulièrement son aide lors d’événements divers, culturels, sportifs, mais également lors d’incidents graves comme lorsqu'il participe aux secours à la suite de l'avalanche de 1970 à Val-d'Isère.

SECOND GUERRE MONDIALE 1945 A 2000:

  Après la capitulation de la France, beaucoup d’anciens du 7° entrent en Résistance dans le secteur du Beaufortain. Le capitaine Bulle les organise et devient leur chef ; il vont former le bataillon Bulle, qui concourt activement à la libération de la Savoie, malgré la mort de son chef assassiné (août 1944). Le bataillon Bulle et le 2° bataillon des Glières fusionnent pour recréer le 7° BCA.

SECOND GUERRE MONDIALE 1939-1945:

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DE 2000 A NOS JOURS
DECORATION:

L'insigne du 7e BCA se compose d’un cor, symbole des chasseurs et d’un diable. Les origines du diable remontent à la bataille de l’Hartmannswillerkopf pendant la Première Guerre mondiale. Impressionnés par la détermination des chasseurs durant les combats, les Allemands les surnommèrent les « Diables bleus ».

INSIGNE:

De fer et d'acier« Bataillon, bataillon, bataillon de fer,

Bataillon, bataillon, bataillon d'acier »

DEVISE:

1re Division blindée -

27e Brigade d'Infanterie de Montagne (BIM)-

7e Bataillon de Chasseurs Alpins (BCA)

SUBORDINATION:

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